WORKSHOPS

Workshops 2023-2024

Workshops du 8 au 12 avril

Paris galeries

Artistes : Sylvie Nayral, Jean Laube.

Ce voyage à Paris répond à la nécessité de proposer aux étudiant·es des expériences et connaissances concrètes, difficilement imaginables depuis Avignon. Il doit palier notre éloignement géographique de lieux dynamiques de présentation du travail d’artistes déjà engagés dans une professionnalisation de leur pratique.

Pendant trois jours à Paris, le parcours conduit les étudiant·es à visiter un nombre important de galeries d’art contemporain, dans les différents quartiers qui les abritent : Marais, Bastille, 8e, Quartier Latin, et aussi La Chapelle, Pantin…

L’attention est portée sur les œuvres présentées, mais aussi, sur les modalités de présentation, les espaces, les accrochages. Le parcours peut intégrer friches et autres lieux associatifs de rencontres et expositions, et des rendez-vous avec les acteurs impliqués dans les lieux visités.

Disparu·es

Artistes : Judith Depaule, Khaled Alwarea, Anouk Darn Tanguille.

Un semblant de famille dresse une table pour l’anniversaire de leur fille disparue au Mexique six ans auparavant, tel un rituel destiné à la faire revenir.

Deux charognards, experts dans l’escroquerie des familles de porté·es disparu·es s’invitent inopinément pour faire commerce de leur malheur. Leur arrivée révèle l’histoire d’absent·es qui apparaissent, tels des fantômes. Deux mondes parallèles se déploient. Les vivants ne perçoivent pas les porté·es disparu·es qui, de leur côté, tentent en vain d’interagir avec eux. Seul le fils de la famille, atteint de troubles cognitifs, fait le lien entre les deux mondes. Les porté·es disparu·es se fédèrent pour que justice et mémoire soient rendues.

Le workshop explorera deux aspects :

  • le traitement de l’iconographie des porté·es disparu·es : photos en basse définition, parfois découpées dans un album de famille,
  • la scénographie de ces images qui envahissent la scène à la fin du spectacle.

WorkShow Mémoire de l’instant

Artistes : Nicolas Gruppo, Hervé Giocanti, Philippe Montchaud, Guick Yansen.

Ce Workshop transversal regroupe des questions liées à la performance (happening, event, concert Fluxus, poésie action, présence scénique, intensité du live, improvisation, sonorisation, éclairage…) et des questions de restauration / prévention (archives, documentations, partitions, relevés de traces, récits, embryons de fictions…)

Lectures électriques

Artistes : Laurie Bellanca, Ross Louis, Delphine Pauletto.

Dans la continuité du dispositif Habiter la bibliothèque testé lors de la semaine Habiter l’école, faire école, il s’agira d’expérimenter différentes techniques à la lisières du Cut-up (inspiré de Brion Gysin) et du Mushup (culture pop, musique et vidéo) appliquées à la lecture et au partage de celle-ci. Comment traverser un corpus de textes – dans différentes langues – en y faisant entendre ce geste si particulier, celui habituellement gardé pour l’imaginaire silencieux, tissant de subtiles articulations : lire.

Une implantation à visée non apocalyptique

Artistes : Laurent Tixador, Léa Le Bricomte, Cyril Jarton.

Quelle est la place de l’art et des « artistes » dans la lutte ? Si cette question a déjà été passablement traitée, elle refait jour en permanence dans les discussions au sein des milieux artistiques.

Quelle est la place de l’architecture ? Cette question en revanche a trouvé sa réponse sous la forme de l’auto-construction et des ZAD ; elle concerne aussi directement différentes minorités, comme celles des Voyageurs, voisins de l’ESAA. À ce titre, seront présents aux côtés des étudiant·es et des artistes, des enfants en formation auprès du CASNAV, centre académique pour la scolaritation des élèves allophones et des enfants issus des familles itinérantes et des Voyageurs.

Le projet ici proposé sera lié à des formes habitables. Il s’agira, en respectant les constantes écologiques, de bâtir individuellement dans la proximité de l’écoles des sortes de capsules personnelles propices à l’isolement et à la réflexion. Cet ensemble d’édifices sera organisé sous forme de village en prenant en compte son urbanisme, ses circulations et ses équipements collectifs.

Ce projet a pour vocation d’envisager les ressources environnantes sans rien importer. L’objectif est des transformer des ordures ou des matériaux provenant du site comme opportunités. Par ce fait, de nettoyer en produisant une œuvre collective.

Mon histoire est la tienne

Artiste : Sirine Fattouh.

Le projet consiste à réaliser par groupe de trois une courte vidéo (5 à 10 minutes) en utilisant la forme de la correspondance épistolaire où il s’agira de nous questionner sur enjeux de la restauration des liens et de la conservation de la mémoire.

Dans un monde agité par les conflits, les guerres et les catastrophes écologiques, il s’agira de se détacher des images diffusées sur les réseaux sociaux et les médias dominants et de prendre le temps de réfléchir à un processus de réparation afin de reprendre le pouvoir en nous réappropriant notre histoire et en prenant part à son écriture par le geste artistique. Il s’agira de sortir de la torpeur des images, car « voir l’événement (quel qu’il soit) se produire en temps réel, c’est le voir se produire avec nous, mais sans que nous n’y puissions rien changer. La télévision est une école de l’impuissance du spectateur. Au moment où le direct fait de nous des co-auteurs de l’événement, il nous ôte toute possibilité d’interaction. Il y a peut-être une jouissance obscure de ce sentiment d’impuissance. »

Workshops du 19 au 23 février

D’une galerie, l’autre…

Artiste : Alain Leonesi.

Ce Workshop de production s’inscrivant dans le cadre général du projet Caravane pass comprend le protocole d’accrochage et d’installation. En partant d’une « galerie » de voiture, l’objectif est de réaliser une œuvre modulable, à dimensions variables qui se déploiera en fonction des conditions mêmes d’exposition. La sculpture sera construite par assemblage mécanique (écrou, boulon, tige filetée, charnière, etc.).

Caravane Pass

Artiste : Mylène Malberti, Cyril Jarton.

Ce Workshop abordera l’installation et la conception d’œuvres mobiles. Notamment par la réalisation d’un ensemble de structures mobiles pour l’exposition Passe-Murailles à l’Église des Célestins, intérieur et parvis. Ce travail en cours de réalisation prolonge les ateliers « récits photographiques » conçus autour du thème de la caravane et plus largement de la « nomadologie » – en référence aux thèses de Deleuze/Guattari (Mille Plateaux, 1980) et au principe de « l’œuvre en mouvement », développés dans les cours à l’ESAA.

Production Passe-Murailles

Artiste : Jean Laube, Hamid Maghraoui.

Ce Workshop abordera un travail In situ, prenant en compte le milieu et le contexte dans lequel il sera exposé.

Riken no ken / Le regard éloigné

Artiste : Benoit Broisat, Ross Louis.

L’échange avec les étudiant·es de l’université d’art de Musashino donnera lieu durant Passe-Murailles à des projets collaboratifs in situ, à des restitutions au Grenier à Sel, et à une soirée dédiée à des propositions vidéo, performative ou sonores.

Cette semaine de workshop constitue l’amorce du travail en collaboration, initiant à distance les projets qui seront prolongés et finalisés en mars. Des rendez-vous en visio auront régulièrement lieu dans la matinée qui nourriront les recherches menées dans l’après-midi.

In et out d’une exposition

Artiste : Émilie Chabert.

Ce Workshop In et out d’une exposition permettra d’évoquer différents champs qui composent le montage d’une exposition jusqu’à l’accueil des publics :

  • régie et logistique : enjeux du montage, production et flux des publics (rencontre avec un régisseur technique et d’une médiatrice professionnelle)
  • médiation : récolter les éléments de contenu et imaginer un support, gestion du planning de présence (visite patrimoniale des lieux par Stéphane Jordan)
  • communication : formalisation d’un ou plusieurs documents destinés aux publics (flyers, cartels, réseaux sociaux, etc…)
  • offres annexes (mise en place d’une buvette : contexte et contraintes)

En conversation

Artiste : Sirine Fattouh, Ross Louis.

Dans le cadre de Passe-Murailles, En conversation propose un parcours de performances In Situ présentées sous formes d’un tour alternatif d’Avignon conduit par un·e médiateur·ice / performeur·euse.

Ces performances sont conçues autour d’une série de sites devenus des lieux d’investigation et d’expérimentation artistique, offrant ainsi un nouveau regard sur la ville, l’espace et le son.

Le Workshop se déroulera In Situ afin de développer et de finaliser les propositions performatives, ainsi que l’organisation de la balade entre les différents sites.

Destruction programmée

Artiste : Marie Boyer, Léa Le Bricomte, Hervé Giocanti.

Cet atelier expérimental de fabrication d’objets ou de matériaux qui ont pour vocation de se dégrader, d’évoluer, etc.

Les étudiant·es en création travailleront en association avec les étudiant·es en conservation-restauration et seront invité·es à imaginer, ensemble, selon le point de vue lié à leur zone de recherche, une pièce qui contiendra dans sa matérialité même son potentiel d’autodestruction.

Colloque des étudiant·es

Artiste : Sylvie Nayral, Gaspard Salatko.

Cet atelier abordera l’initiation à la recherche et à la communication orale des travaux de recherche, ainsi que la préparation même du colloque des étudiant·es (écriture et reprise des textes, présentation des interventions et filages, élaboration du programme…)

Workshops du 13 au 17 novembre

Workshops Novembre 2023

Frappées par la foudre

Artistes : Emma Bigé, Antonija Livingstone.

La question est, comme toujours : Comment – exquisément – procéder avec le soin et l’attention requises ?

Dans Transmaterialités, læ physicien·ne quantique et théoricien·ne transféministe Karen Barad observe les trajectoires des éclairs, qu’iel décrit comme « une réponse foudroyante à une atmosphère chargée de désirs » : un échange sensuel entre le ciel et la terre où l’incertitude, le pas-savoir et l’interrogation sont au cœur des mouvements de la matière. L’hésitation au cœur du toucher.

Comme bien d’autres créatures qui naissent du milieu des choses, la foudre connecte des mondes, elle avive l’entre-deux, même à distance. Quelles sortes de leçons concernant les séparations et les distances, les proximités et les adjacences, pourrions-nous étudier en nous plaçant auprès des habitant·es des zones de contact ? Et quels arts de l’attention peut-on apprendre des étranges physiques du toucher qu’elles impliquent ?

Par des pratiques somatiques, sculpturales et textuelles, Emma Bigé et Antonija Livingstone proposent de faciliter une intra-action entre les études trans, écologiques et tranimales, cherchant à dés/apprendre de (nouveaux/anciens) motifs de mouvement, à proximité d’une congrégation de créatures textuelles et parfois matérielles : des éclairs, des étoiles de mer, des frankengrenouilles, des mammifères marins et terrestres.

Architectures précaires : entre-deux-barres

Artistes : Benoit Broisat invite Olivier Boucheron.

« L’entre-deux barres est une occasion de porter pour la première fois un regard « par en-dessous » sur les formes des logements collectifs inventées et imposées par le projet moderne puis déployées mondialement entre les années 50 et les années 80.

Ce livre se définit comme un espace-temps de résistance populaire au processus de dépossession appliqué à la question de l’habitat, et un ensemble d’inventions sociales et spatiales qui en contredisent les principes. » En présentant ainsi son ouvrage « L’entre-deux-barres », l’architecte et chercheur Olivier Boucheron donne une grande place à « l’enquête de terrain », une pratique empruntée aux sciences sociales qui consiste à s’immerger dans la réalité que l’on se propose d’étudier, à arpenter les lieux, à y pratiquer des relevés, à en interroger les habitant·es, etc. Depuis près de vingt ans, il initie à cette pratique les étudiants de l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-La Villette.

Il s’agira à travers cette collaboration d’expérimenter sa mise en œuvre dans le contexte singulier d’une école d’art. Menée autour du site de Baigne-Pied, l’enquête pourra servir de base à la formulation de propositions artistiques in situ, mais elle pourra aussi être envisagée comme une fin en soi, c’est-à-dire comme un médium à part entière ou comme un outil de représentation du réel.

Disparu·es

Artistes : Khaled Alwarea, Anouk Darne Tanguille, Judith Depaule

Un semblant de famille dresse une table pour l’anniversaire de leur fille disparue au Mexique six ans auparavant, tel un rituel destiné à la faire revenir. Deux charognards, experts dans l’escroquerie des familles de porté·es disparu·es s’invitent inopinément pour faire commerce de leur malheur. Leur arrivée révèle l’histoire d’absent·es qui apparaissent, tels des fantômes. Deux mondes parallèles se déploient. Les vivants ne perçoivent pas les porté·es disparu·es qui de leur côté tentent en vain d’interagir avec eux.

Seul le fils de la famille, atteint de troubles cognitifs, fait le lien entre les deux mondes. Les porté·es disparu·es se fédèrent pour que justice et mémoire leur soient rendues.

Workshops Novembre 2023 : Disparu·es

Image latente

Artiste : Mylène Malberti

  • Initiation à la prise de vues et laboratoire argentique, la lumière une partie de l’ombre.
  • La prise de vue : confrontation à l’enregistrement du réel.
  • Cadrage, composition, vitesse, profondeur de champ, sensibilité.
  • Le laboratoire et la chimie.
  • Le développement du film.
  • La planche contact, lecture et choix des images.

Conservation, restauration de toile peinte : Renforts de déchirures, fils à fils, comblements, retouches…

Artiste : Marie Boyer

Ce workshop se présentera comme un atelier de conservation-restauration de couche-picturale. Plus précisément, il se focalisera sur la mise en pratique de la réintégration de couche picturale (retouche) sur des plaquettes ou « œuvre-test ». Le temps alloué nous permettra d’expérimenter différents types de mise en œuvre et de liants parmi les plus courants pour la réintégration colorée.

Recto-Verso

Artistes : Hervé Giocanti, Hamid Maghraoui

Cet atelier en binôme a pour objectif d’inciter un étudiant en conservation restauration et un étudiant en création à se pencher sur une œuvre qu’ils auront choisie parmi la collection de l’artothèque de Miramas.
Dans un premier temps, après avoir récupéré l’œuvre sur le site de Baigne-Pieds chaque binôme devra analyser, construire et développer une récolte d’informations à partir de cette dernière.

Ils devront repérer et trouver des liaisons, des relations, des sujets (art ancien, moderne, contemporain, pop culture, etc.) qui font écho à cette œuvre à partir de textes, de mots, d’images, d’objets, etc. en utilisant la photocopieuse, l’imprimante, le scanner de l’école, etc. Cet ensemble d’indices généré par le croisement des deux regards, sera composé et agencé afin de penser l’accrochage de leur récolte.

Dans un deuxième temps, chaque binôme, devra prendre position et trouver un moyen singulier de produire un travail plastique à partir de l’ensemble des informations qu’ils auront concentré.

L’objectif de ce workshop est de se recentrer sur une œuvre choisie, de créer du contenu à partir d’une récolte d’informations liées à cette œuvre, d’avoir la liberté de relier les savoirs, etc. et d’en extraire une interprétation artistique.

Billard et tracés régulateurs

Artiste : Alain Leonesi

Correspondance entre le jeu de billard et les pratiques artistiques. De la représentation du billard dans la peinture, au cinéma… aux pratiques du dessin régulateur dans la composition des images et de la lecture de table au billard. Initiation au billard carambole et analogie avec les tracés régulateurs en art, architecture, design, art du jardin, etc.

C’est un jeu d’adresse et de précision qui demande de la concentration, les tables et les lieux sont mis gracieusement à notre disposition par le Billard Club Avignonnais.

Workshops Novembre 2023 : Billard et tracés régulateurs

 

Workshops École(s) du Sud

École(s) du Sud

Workshops du 14 au 18 novembre 2022

Pour la troisième fois, L’École(s) du Sud, le réseau rassemblant différentes écoles du sud propose une semaine de workshops communs.

Sur inscription, les étudiant·es ont la possibilité de suivre un workshop dans l’une des écoles du réseau. L’occasion pour eux de découvrir de nouveaux·elles interlocuteur·rices, de nouveaux espaces ainsi que de nouvelles méthodes de travail.

Workshops École(s) du Sud

En mars 2023, l’ESAA présentera la seconde édition de l’évènement Passe-Murailles. Le workshop de novembre sera l’occasion d’associer la communauté étudiante à l’élaboration de celui-ci. Il s’agissait de questionner et de réinventer collectivement les modalités pour en faire un laboratoire des enjeux fondamentaux de la création. Comment se donner à voir, donc, et à travers ce parti pris, de quelles fonctions investir, pour soi-même et pour la société, la pratique artistique ?

Le workshop considérait en somme, paraphrasant Rimbaud, que l’art est à réinventer. Il lui revenait, pas, bien sûr, d’achever cette vaste entreprise mais du moins d’en poser un premier jalon.

Workshops Chantier-école

Workshops du 28 novembre au 2 décembre

Workshops Chantier École

Dans le cadre de ce workshop, les étudiant·es de l’ESAA ont réalisé une étude préalable au square Agricole Perdiguier à Avignon. Emilie Masse, professeure d’enseignement artistique (conservation-restauration) et restauratrice diplômée spécialisée en sculpture a encadré ce chantier. L’objectif de cette intervention est de stabiliser les altérations évolutives de la sculpture, ainsi que de retrouver son aspect visuel. Cette action a pour but d’éliminer et de stopper le développement de micro-organismes sur la sculpture. Ceux-ci pourraient engendrer des altérations plus importantes (désagrégations granulaires superficielles, formation de petits cratères en surface, etc).

Avant tout, la surface sera brossée à sec puis à l’eau tiède pour retirer un maximum de mousse et lichens mécaniquement.

Ensuite, un traitement biocide va être pulvérisé une fois par jour, pendant trois jours à la fin de nos journées de travail. Le traitement biocide doit être réalisé par temps sec. Le produit biocide utilisé sera le Net’toit®9 (constitué de lauryl diméthyl benzyl ammonium et des sels cuprosodiques de la chlorophylline).

Workshops « Paris Galeries »

Workshops du 15 au 17 novembre 2022

Workshops "Paris Galeries"

Cette sortie avait pour but de centrer l’attention sur les pratiques actuelles, accueillies et choisies par le marché. Ce workshop aura aussi permis de mesurer l’importance de voir des travaux réels accrochés dans des espaces réels accrochés dans des espaces réels, et la volonté qu’un parcours d’artiste suppose.

Workshops « ERRATUM »

Workshops du 2 au 5 mai 2023

Workshops "Erratum"

Pour ces 4 jours, les différents intervenants (Pol Pi, Vera Martynov, Emma Bigé, Sabrina Calvo et Elvia Téotski) ainsi que Cyril Jarton, enseignant à l’ESAA, ont accompagné les étudiant·es afin de leurs partager leurs pratiques, leurs réflexions sur le monde d’un point de vue climatique, professionnelle et éthique.